St-Hippolyte du Fort se décline à tous les temps, passé, présent et futur. Cette petite ville du Piémont Cévenol a beaucoup à dire et offre de nombreux avantages pour y vivre pasiblement mais sans être coupé du monde.
Nouvel hôtel de ville et marché. Cela peut paraitre anecdotique mais, entre 1781 et 1789, il y a eu un projet pour un nouvel hôtel de ville, sur le Plan. Plus précisément sur ladite Placette du Plan ; depuis renommée rue du Plan, sachant qu’elle est dans le prolongement de celle-ci. Ci-dessous, le projet, présenté sous […]
Porte de l’Abreuvoir (nouvelle série). Le plan de 1693 représente indiscutablement une aubaine, rare. Cependant, le hasard a voulu que je visite enfin la propriété qui, à mon avis, constituait la connexion originelle avec le faubourg de Planque. À l’intérieur de la « cour », au niveau des joints des murs, on distingue assez nettement
Gués, chaussées, passerelles et ponts. Se sont succédées, à St-Hippolyte, différentes manières de traverser les cours d’eau. L’histoire commence certainement avec le passage à gué. À ce titre, nous avons vu le rôle que jouait le Moulin Mirial, au niveau de la traversée vers Anduze, ville de laquelle dépendait fortement St-Hippolyte, dans le cadre des
Les grands travaux du 19ème siècle. À partir de la votation pour la construction d’un nouveau temple de St-Hippolyte, en 1816 [1], le quartier du Pradet va connaître une forte mutation. La composition générale est indiscutablement dictée par la position du nouveau lieu de culte. Comme pour tout projet, en amont de la conception, on
Croix-Haute, un carrefour important. Croix-Haute doit son nom au fait que le faubourg constituait un nœud routier important. Sur le plan de 1693, il porte d’ailleurs le nom de Croiseau. Se croisaient là deux voies romaines secondaires : la première venant du sud, depuis la voie Domitienne 1 ; l’autre raccordant Nîmes au Pays Ruthènes (Aveyron). La
La promenade du Pradet. Étant donné le nombre de dents creuses dans l’allée de platanes, j’ai eu envie de faire une reconstitution de la promenade originelle. Un travail complémentaire à celui de l’ONF*, puisque j’inclus également dans mon recensement les sujets aujourd’hui disparus. Contrairement aux affirmations rassurantes de mon confrère de l’Écho cigalois, la question
Ces fous volants et leurs drôles de machines. Quant à lui-même, notre Tartarin de Tarascon des temps modernes, n’a de volant que celui de son berlingot. N’étant pas issu d’une lignée aussi richissime que son héros brésilien, Albert Santos-Dumont, la vie a voulu qu’il reste, tel le petit garçon dans Cinéma Paradiso, à vivre son
Si Cazilhac m’était conté au fil de l’eau. extrait d’une plaquette de l’Office de tourisme Cévennes Méditerranée, à Ganges, non daté Dans la haute vallée de l’Hérault, surplombé par le massif de la Séranne, le village de Cazilhac se situe au confluent de la rivière de la Vis et du fleuve Hérault. Réputé pour son
La danseuse au Pradet. Le jardin d’enfants du Pradet ressemble aujourd’hui à l’antithèse de toute aire de jeux. On se croirait ici dans le Bronx des années 1970. En son sein, trône un petit rat d’opéra qui renvoie aux danseuses chères à Edgar Degas. De fil en aiguilles, on est projeté au Palais Garnier, où
Les meuses à Cazilhac. En regardant tourner les grandes roues à aubes à Cazilhac, nous reviennent les vers enchanteurs de Charles Péguy : « O Meuse endormeuse et douce à mon enfance… O Meuse inaltérable et douce à toute enfance ». Quoi de plus juste, en effet, pour décrire cet environnement serein et ces majestueuses roues aux mousses
Copyright © Hugo Snellen 2024 La Gazette de Croix-Haute
