Les bornes-fontaines cigaloises (article en devenir).
En entreprenant cette recherche, je pensais avant tout faire un simple travail de recensement.
Sachant qu’une partie de ces fontaines n’existent plus aujourd’hui, j’ai lancé un avis de recherche, sous la forme d’une chasse aux trésors sur les réseaux sociaux.
Pour mon grand plaisir, de nombreuses personnes ont montré un vif intérêt pour cette démarche, alors qu’à nous tous, elle semblait tout d’abord sans grand attrait.
En les disposant côte à côte, nous avons pris conscience de la beauté de ces différentes bornes-fontaines, sachant que celles identifiées sont toutes d’un modèle différent, les uns des autres.
Nous avons de ce fait eu au moins 6 modèles différents, dont un a disparu.
Comme vous le voyez, il reste deux bornes fontaines à identifier, voire trois, dans la mesure où il se pourrait qu’il y en ait eu une rue de Croix-Haute, entre la fontaine publique de l’hôpital et celle de la place du 4 septembre.
Dans ses archives photo, Robert espère encore pouvoir en retrouver deux, sur le secteur Peirou-Treilles (réseaux 2 – alimenté par les sources du Mas d’Icard). Sachant que Jean Conduzorgues* en avait identifié deux, au moment de sa thèse remise en 1929.
Cependant, Nathalie en a également identifié une, qui se trouvait au bas de l’actuelle rue Maurice Bertrand, sachant qu’elle habitait là.
Ceci fait qu’une borne-fontaine a pu être rajoutée, après la thèse dite du pharmacien.
N’hésitez pas à envoyer vos avis et vos photos à la Gazette, ou à me les transmettre directement sur les réseaux sociaux.
Comme vous l’aurez compris, St-Hippolyte est désormais
LA CITÉ AUX 50 FONTAINES 😉
* cf. Voir la thèse dite du pharmacien, dans La Cité aux 40 fontaines – III. (cliquer sur « thèse », sachant qu’il fait office de lien vers une retranscription de la thèse.
Remerciements : Nathalie, Zébu Lon et Robert, pour leur enthousiasme et leurs précieuses contributions.
Photo d’illustration : Fontaine Agence Rol (commanditaire) – 1921
Jeroen van der Goot 29 mars 2024