St-Hippolyte du Fort possède un passé riche en histoire et son patrimoine est remarquable, surtout les nombreuses fontaines qui ont marqué la ville.
L’hôpital St-Louis et ses fontaines. À regarder l’étude de faisabilité de 1744, portant sur l’hôpital royal St-Louis, on comprend que la fontaine extérieure a été déplacée, non pas une fois mais deux. Effectivement, le plan du rez-de-chaussée ci-dessous, montre que la fontaine extérieure se trouvait initialement juste à droite de son emplacement actuel [1] ; et […]
Fontaine de la Canourgue. Cherchez l’erreur… Sur la photographie ci-dessus, la stèle de la fontaine de la Canourgue n’est clairement pas semblable à celle d’aujourd’hui. Elle parait même être à claire-voie. Mais à regarder les cartes postales de la même époque, on comprend qu’il n’en est rien. À aujourd’hui voir les joints, tartinés comme par
Le Pont du Peirou. Devant l’empressement d’en finir avec les fortifications, on n’a pas vu le trait de génie que certaines installations représentaient en termes d’écoulement des eaux pluviales. Le cadastre Napoléon (1812) fait apparaitre un pont au niveau de la porte du Peirou. Ce qui sous-entend que les remparts étaient doublés d’un fossé, côté
Nouvel hôtel de ville et marché. Cela peut paraitre anecdotique mais, entre 1781 et 1789, il y a eu un projet pour un nouvel hôtel de ville, sur le Plan. Plus précisément sur ladite Placette du Plan ; depuis renommée rue du Plan, sachant qu’elle est dans le prolongement de celle-ci. Ci-dessous, le projet, présenté sous
Fontaines disparues. Parmi les fontaines aujourd’hui disparues, il faut distinguer les fontaines publiques des fontaines privées. Au niveau des fontaines publiques, on peut également faire la distinction entre celles coulant en continu et celles le faisant par intermittence. En d’autres mots, les bornes fontaines. Dans son ouvrage, André Peyriat propose un plan, un peu grossier,
Porte de l’Abreuvoir (nouvelle série). Le plan de 1693 représente indiscutablement une aubaine, rare. Cependant, le hasard a voulu que je visite enfin la propriété qui, à mon avis, constituait la connexion originelle avec le faubourg de Planque. À l’intérieur de la « cour », au niveau des joints des murs, on distingue assez nettement
Gués, chaussées, passerelles et ponts. Se sont succédées, à St-Hippolyte, différentes manières de traverser les cours d’eau. L’histoire commence certainement avec le passage à gué. À ce titre, nous avons vu le rôle que jouait le Moulin Mirial, au niveau de la traversée vers Anduze, ville de laquelle dépendait fortement St-Hippolyte, dans le cadre des
ux 40 f La cité aux 70 fontaines ? Les égoutiers et sous-égoutiers. Dans la mesure où l’objectif des fontaines à identifier vient de passer à 70, il est grand temps que j’évoque la question des égoutiers et sous-égoutiers. En d’autres mots, la question des points d’eau privatifs. De la même manière que l’Agal [1]
Les grands travaux du 19ème siècle. À partir de la votation pour la construction d’un nouveau temple de St-Hippolyte, en 1816 [1], le quartier du Pradet va connaître une forte mutation. La composition générale est indiscutablement dictée par la position du nouveau lieu de culte. Comme pour tout projet, en amont de la conception, on
Croix-Haute, un carrefour important. Croix-Haute doit son nom au fait que le faubourg constituait un nœud routier important. Sur le plan de 1693, il porte d’ailleurs le nom de Croiseau. Se croisaient là deux voies romaines secondaires : la première venant du sud, depuis la voie Domitienne 1 ; l’autre raccordant Nîmes au Pays Ruthènes (Aveyron). La
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