St-Hippolyte du Fort se décline à tous les temps, passé, présent et futur. Cette petite ville du Piémont Cévenol a beaucoup à dire et offre de nombreux avantages pour y vivre pasiblement mais sans être coupé du monde.
Ces fous volants et leurs drôles de machines – 2. Qui n’a jamais vu Pascal Coularou trimballant, par monts et par vaux, le Blériot XI du Club Aéronautique des Garrigues (1) ? Certains parlent de sa librairie comme ayant longtemps été le principal pôle culturel de St-Hippolyte. Au-delà de celle-ci, et de son amour pour […]
“Pierre Qui Roule” présente les oeuvres de 53 artistes dans un tunnel ! Pour sa 4ème édition, l’expo dans le Tunnel de la voie verte à St-Hippolyte du Fort n’a pas déçu. Mais pas n’importe quel tunnel … il s’agit du tunnel de Travès, un ouvrage d’art long de 250 m, achevé en 1872 pour
Températures, pansières et refuges thermiques. Et si nous lancions ensemble un projet aussi simple qu’essentiel : relever les températures du Vidourle et de l’Argentesse, en surface et, quand c’est possible, en profondeur, tout au long de l’année ? Car la température de l’eau conditionne largement la vie aquatique. Certains poissons y sont très sensibles ;
Le chaînon manquant. La base de données Mérimée, qui recense les monuments historiques de France, signale que la maison aujourd’hui connue sous le nom de maison Perrier a appartenu – et peut-être même été construite -par la famille Du Bousquet de Florian. Hier, nous évoquions l’un de ses occupants : Louis François Alexandre Du Bousquet
Le château de la Roquette et son sous-sol. Il y a des lieux où l’histoire semble couler sous la roche. Le château de La Roquette, perché sur son éperon à Conqueyrac, domine les gorges du Vidourle avec son allure sévère de sentinelle médiévale. Il veille sur la vallée depuis des siècles. Mais ce que l’on
La retirada. En discutant avec les habitants de Saint-Hippolyte-du-Fort, j’ai rapidement remarqué la présence de nombreux noms à consonance espagnole. Plusieurs personnes m’ont confirmé que leurs familles étaient arrivées ici en fuyant la guerre civile espagnole ou la répression franquiste. Pourtant, malgré cette évidence, je ne m’étais jamais réellement représenté ce qu’avait été leur exil.
Une lumière sous la cendre. Né à Pompignan dans une famille modeste de neuf enfants, Fernand Léonard grandit dans un monde dur mais structurant. Reçu au concours des élèves-maîtres en 1942, il voit son avenir basculer l’année suivante : affecté aux Chantiers de jeunesse puis au Service du Travail Obligatoire, il travaille à la poudrerie
La pansière du Mas des Jardins. Au-delà du sentiment de quiétude que dégage cette photo, prise au matin, il est important de souligner qu’elle montre une section du Vidourle régulièrement à sec. Le lieu photographié se situe à hauteur du Mas des Jardins – un nom qui évoque clairement la présence ancienne de jardins, sans
Le beffroi de St-Hippolyte du Fort. Il se dresse depuis près de quatre siècles, massif, silencieux, presque oublié. Le beffroi de Saint-Hippolyte-du-Fort garde les marques d’un passé bien plus ambitieux que ne le laissent paraître ses murs austères. Et pourtant, les archives ne manquent pas de superlatifs pour décrire le chantier lancé en 1646 :
A St-Hippolyte du Fort, le réseau d’eau n’est pas exemplaire. On se doutait que notre réseau d’eau n’était pas exemplaire. Mais apprendre que près de la moitié de notre eau potable se perd, voilà qui dépasse les soupçons. En 2023, les pertes s’élevaient à 43,7 %.En 2022, elles étaient de 38,9 %, à comparer avec
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