Nouvel hôtel de ville et marché. Cela peut paraitre anecdotique mais, entre 1781 et 1789, il y a eu un projet pour un nouvel hôtel de ville, sur le Plan. Plus précisément sur ladite Placette du Plan ; depuis renommée rue du Plan, sachant qu’elle est dans le prolongement de celle-ci. Ci-dessous, le projet, présenté sous […]
Fontaines disparues. Parmi les fontaines aujourd’hui disparues, il faut distinguer les fontaines publiques des fontaines privées. Au niveau des fontaines publiques, on peut également faire la distinction entre celles coulant en continu et celles le faisant par intermittence. En d’autres mots, les bornes fontaines. Dans son ouvrage, André Peyriat propose un plan, un peu grossier,
Porte de l’Abreuvoir (nouvelle série). Le plan de 1693 représente indiscutablement une aubaine, rare. Cependant, le hasard a voulu que je visite enfin la propriété qui, à mon avis, constituait la connexion originelle avec le faubourg de Planque. À l’intérieur de la « cour », au niveau des joints des murs, on distingue assez nettement
Gués, chaussées, passerelles et ponts. Se sont succédées, à St-Hippolyte, différentes manières de traverser les cours d’eau. L’histoire commence certainement avec le passage à gué. À ce titre, nous avons vu le rôle que jouait le Moulin Mirial, au niveau de la traversée vers Anduze, ville de laquelle dépendait fortement St-Hippolyte, dans le cadre des
La cité aux 70 fontaines ? Les égoutiers et sous-égoutiers. Dans la mesure où l’objectif des fontaines à identifier vient de passer à 70, il est grand temps que j’évoque la question des égoutiers et sous-égoutiers. En d’autres mots, la question des points d’eau privatifs. De la même manière que l’Agal [1] avait ses ayants-droits,
Vendredi 5 septembre 20h30 au Pradet, concert “The Good Rocking Cajun ” Rock ‘n Roll français de La Louisiane. Restaurant ouvert du lundi au samedi midi et du mardi au vendredi soir Le Pradet 17 bis boulevard du temple 30170 Saint Hippolyte du fort 04.49.05.49.14
L’Agal, les moulins et la ville : on reste un peu sur sa faim en constatant que les premiers plans de notre ville ne remontent qu’à la fin du 17ème siècle. La cartographie française n’ayant commencé à se généraliser qu’au 18ème siècle, il faut toutefois réaliser que St-Hippolyte est une des toute premières bourgades françaises à avoir été dessinée en plan. Pour imaginer les prémices de notre ville, on ne peut donc qu’émettre des hypothèses…
Les soirées Jazz au Pradet du vendredi : public et musiciens dans une ambiance survoltée ! Prochain RDV : 13 juin 2025. On ne remerciera jamais assez ces musiciens organisateurs sans qui rien n’arrive : Richard Raux : Saxophone ténor, Vocal Jean-Marie Ferrat : Basse, Guitare Denis Cassiau, Jean-Michel Athané : Piano Et tous les
Croix-Haute, un carrefour important. Croix-Haute doit son nom au fait que le faubourg constituait un nœud routier important. Sur le plan de 1693, il porte d’ailleurs le nom de Croiseau. Se croisaient là deux voies romaines secondaires : la première venant du sud, depuis la voie Domitienne 1 ; l’autre raccordant Nîmes au Pays Ruthènes (Aveyron). La
L’Agal, les moulins et la ville : on reste un peu sur sa faim en constatant que les premiers plans de notre ville ne remontent qu’à la fin du 17ème siècle. La cartographie française n’ayant commencé à se généraliser qu’au 18ème siècle, il faut toutefois réaliser que St-Hippolyte est une des toute premières bourgades françaises à avoir été dessinée en plan. Pour imaginer les prémices de notre ville, on ne peut donc qu’émettre des hypothèses…
