Le dernier né de nos moulins. Le moulin de Figaret ne figure pas sur la planche détaillée de 1693. Autrement dit, il n’existait pas encore, et le château de Figaret non plus. Le fait que nous ayons retrouvé un dessin du château ne correspondant pas à la réalité montre que son propriétaire avait lancé un […]
La pansière du Mas des Jardins. Au-delà du sentiment de quiétude que dégage cette photo, prise au matin, il est important de souligner qu’elle montre une section du Vidourle régulièrement à sec. Le lieu photographié se situe à hauteur du Mas des Jardins – un nom qui évoque clairement la présence ancienne de jardins, sans
Le kamikaze cigalois. Sur la gauche de la photo, on distingue un ouvrage de protection des plus évocateurs. Difficile de s’en lasser. Je publie régulièrement cette image, tant elle résume à elle seule le caractère héroïque — ou inconscient — de ce moulin planté en pleine furie du Vidourle. Ce moulin hydraulique, situé à la
Devoirs et obligations. L’Office français de la biodiversité – Occitanie (OFB) mène depuis quelques mois des actions visant notamment à fermer les béals par temps de restriction d’eau, voire en période d’étiage. La question est de savoir si ladite « police de l’eau » (OFB) a raison d’estimer qu’il y a un impact écologique suffisant
Le Moulin Mirial 2ème partie. Quand le Moulin Mirial a-t-il cessé son activité ? On pense tout de suite à la colossale rampe qui monte à feue la gare, créée en 1872. Toutefois, à voir les erreurs d’interprétation au droit du cadastre Napoléon (1812) (1), on peut également estimer que le moulin ait déjà subit
Le Moulin Mirial. Au sud du faubourg de Vidourle se trouvait le Moulin Mirial. Il y a trente ans, en labourant son champ, Louis Fize (1) butta sur quelques pierres qui le rappelle à la postérité. (2) À l’origine, la traversée de nos rivières se faisait à gué, tant au droit du Vidourle que de
Les moulins de St-Hippolyte du Fort. Á Saint-Hippolyte, on est frappé par la présence de très nombreuses traces de pansières (1), béals (2), fuyants (3) et gourgues (4). Ceux-ci traduisent non seulement un nombre impressionnant de moulins mais aussi un savoir-faire exceptionnel en matière d’hydrologie. De l’épisode VI des Mystères de l’Agal, on comprend l’importance
La création de l’Agal remonte certainement à l’implantation du village. C’est-à-dire, probablement, aux alentours du 14ème siècle.
On peut penser que l’Agal ait tout d’abord été une tranchée destinée à irriguer les cultures en contrebas du village.
