Histoires de génoises. Quand on parle de génoises, on fait allusion à une technique de pose que des artisans italiens ont amenée dans leurs bagages, au 17ème siècle. Étymologiquement, leur nom renvoie bien sûr à la ville de Gênes. En termes d’esthétique, la génoise joue un rôle d’apparat. Son nombre de rangs est généralement calculé […]
Artiste peintre attachant, il expose dans son atelier de Dions “Les Moyens du Bord”. Jean Pierre Brethon est un artiste peintre autodidacte. Son atelier est situé à Dions en Uzège, où il expose régulièrement son travail. Brethon peint des thèmes de proximité, comme les fleurs de son jardin ou des grappes de raisin, mais le
L’hôpital St-Louis et ses fontaines. À regarder l’étude de faisabilité de 1744, portant sur l’hôpital royal St-Louis, on comprend que la fontaine extérieure a été déplacée, non pas une fois mais deux. Effectivement, le plan du rez-de-chaussée ci-dessous, montre que la fontaine extérieure se trouvait initialement juste à droite de son emplacement actuel [1] ; et
A voir absolument : le film de Daniel Kupferstein, une vision de l’extrême droite au pouvoir. Béziers, l’envers du décor : un film engagé de Daniel Kupferstein de 2024 couleur – 104’ Le film aborde, à travers le journal municipal, le “JOURNAL DE BÉZIERS” devenu le “JOURNAL DU BITERROIS”, la gestion de la ville par
Fontaine de la Canourgue. Cherchez l’erreur… Sur la photographie ci-dessus, la stèle de la fontaine de la Canourgue n’est clairement pas semblable à celle d’aujourd’hui. Elle parait même être à claire-voie. Mais à regarder les cartes postales de la même époque, on comprend qu’il n’en est rien. À aujourd’hui voir les joints, tartinés comme par
NON à l’expulsion de Gurami et Miranda : la pétition a recueilli 4 359 signatures en ligne. La Gazette vous avait invités à prendre connaissance d’une pétition à destination du Préfet du Gard, M. Jérôme Bonet. Gurami, Miranda et leurs enfants sont arrivés à St Hippolyte en 2018, ils sont connus de tous dans la ville
Le Pont du Peirou. Devant l’empressement d’en finir avec les fortifications, on n’a pas vu le trait de génie que certaines installations représentaient en termes d’écoulement des eaux pluviales. Le cadastre Napoléon (1812) fait apparaitre un pont au niveau de la porte du Peirou. Ce qui sous-entend que les remparts étaient doublés d’un fossé, côté
Nouvel hôtel de ville et marché. Cela peut paraitre anecdotique mais, entre 1781 et 1789, il y a eu un projet pour un nouvel hôtel de ville, sur le Plan. Plus précisément sur ladite Placette du Plan ; depuis renommée rue du Plan, sachant qu’elle est dans le prolongement de celle-ci. Ci-dessous, le projet, présenté sous
Pas d’écrans du 13 au 21 mai en Uzège. Et à St-Hippolyte ? Alors qu’un rapport d’experts sur les risques de l’exposition aux écrans des plus jeunes a été remis il y a quelques jours à Emmanuel Macron, « dans l’Uzège nous avons un peu d’avance », sourit Jean-Christophe Quilez, délégué des parents d’élèves de
Fontaines disparues. Parmi les fontaines aujourd’hui disparues, il faut distinguer les fontaines publiques des fontaines privées. Au niveau des fontaines publiques, on peut également faire la distinction entre celles coulant en continu et celles le faisant par intermittence. En d’autres mots, les bornes fontaines. Dans son ouvrage, André Peyriat propose un plan, un peu grossier,
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