de Saint-Hippolyte du Fort ... et du monde

patrimoine

Vue depuis la Route d'Alès

Patrimoine hydraulique (01) / réservoir du CROP

Le génie hydraulique cigalois. Il y a au faubourg de Vidourle, tout en haut de l’ancienne rue, un imposant réservoir d’eau potable. Celui-ci passe aujourd’hui pour être celui du Crop Paul Bouvier. Sur l’écriteau qu’arbore le monolithe, on lit :INSTITVT PROTESTANT DE SOVRDS-MVETSadduction des eaux d’Espaze1899 L’eau des sources d’Espaze parcourt ainsi quelque 1 500

La borne myriamétrique de Croix-Haute à St-Hippolyte

La borne de Myria à Croix-Haute

Myria : la borne au début de la rue Croix-Haute à St-Hippolyte du Fort. Juste en amont du 1 Rue de Croix-Haute, au pied du mur, un petit dé porte le joli nom de Myria. Pour une aussi petite pierre, elle pose beaucoup de questions, les unes plus poétiques que les autres. Étymologiquement parlant, « Myria »

Fragment de tugulae

Aux origines de St-Hippolyte 

Le dolmen de Rascassau. Comme en atteste un dolmen de Rascassau (1), les origines de St-Hippolyte du Fort remontent à la nuit des temps. L’agglomération actuelle existe probablement depuis le 13 voire 14ème siècle. Auparavant, la population était installée au Puèch de Mar, à l’abri du vent et des pillards. Cet éperon rocheux constitue aussi

Illustration Cornelis Danckerts Amsterdam 1703

A la croisée des chemins du désert

Suite à la révocation de l’Edit de Nantes en 1685, l’intendant du roi Louis XIV, Nicolas de Lamoignon de Basville, fait réaliser 22 chemins royaux. A lire le cartouche illustré du plan de ceux-ci, on comprend que ces chemins étaient ouvertement destinés à amener un peu d’ordre dans les Sevenes, où les fanatiques et autres mécontens ne descendaient des montagnes que pour faire leurs courses.

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