Patrimoine hydraulique (02) / aqueduc Salle de Gour
Sur les vestiges de l’aqueduc à Salle de Gour. Article en devenir. Reportage photos de Clarence Rigollot. Jeroen van der Goot juillet 2024
Sur les vestiges de l’aqueduc à Salle de Gour. Article en devenir. Reportage photos de Clarence Rigollot. Jeroen van der Goot juillet 2024
Le génie hydraulique cigalois. Il y a au faubourg de Vidourle, tout en haut de l’ancienne rue, un imposant réservoir d’eau potable. Celui-ci passe aujourd’hui pour être celui du Crop Paul Bouvier. Sur l’écriteau qu’arbore le monolithe, on lit :INSTITVT PROTESTANT DE SOVRDS-MVETSadduction des eaux d’Espaze1899 L’eau des sources d’Espaze parcourt ainsi quelque 1 500
Maison PIEYRE à Mandiargues. Le Baron Jean Marie Edmond Pieyre (Edmond pour les intimes) a succombé aux charmes d’une cigale bien cigaloise qui, en plus, passait sous le pseudonyme de Juliette. Le pédigré de la demoiselle étant Lacombe de Mandiargues, ils eurent ensemble des petits Pieyre de Mandiargues – la particule Lacombe étant passée à
A la campagne comme en ville, patrimoine historique. Les pierres de justice existent depuis la nuit des temps. Leurs formes ont évolué, ainsi que leurs usages et leurs emplacements. On les retrouve ainsi dans les campagnes comme en ville. Selon les époques et les lieux, on y déclamait des textes de lois, jugeait des personnes
De St-Hippolyte à Verdun en passant par Eyguière en photos. Le club aéro des Garrigues a voyagé avec le Blériot d’abord à Eyguière, pour le tournage d’un film sur le Général de Gaulle, puis à Verdun à l’occasion de la commémoration de la première bataille aérienne de 1916. Muriel Maire juin 2024
Histoires de génoises. Quand on parle de génoises, on fait allusion à une technique de pose que des artisans italiens ont amenée dans leurs bagages, au 17ème siècle. Étymologiquement, leur nom renvoie bien sûr à la ville de Gênes. En termes d’esthétique, la génoise joue un rôle d’apparat. Son nombre de rangs est généralement calculé
Ces fous volants et leurs drôles de machines. Quant à lui-même, notre Tartarin de Tarascon des temps modernes, n’a de volant que celui de son berlingot. N’étant pas issu d’une lignée aussi richissime que son héros brésilien, Albert Santos-Dumont, la vie a voulu qu’il reste, tel le petit garçon dans Cinéma Paradiso, à vivre son
Myria : la borne au début de la rue Croix-Haute à St-Hippolyte du Fort. Juste en amont du 1 Rue de Croix-Haute, au pied du mur, un petit dé porte le joli nom de Myria. Pour une aussi petite pierre, elle pose beaucoup de questions, les unes plus poétiques que les autres. Étymologiquement parlant, « Myria »
Le dolmen de Rascassau. Comme en atteste un dolmen de Rascassau (1), les origines de St-Hippolyte du Fort remontent à la nuit des temps. L’agglomération actuelle existe probablement depuis le 13 voire 14ème siècle. Auparavant, la population était installée au Puèch de Mar, à l’abri du vent et des pillards. Cet éperon rocheux constitue aussi
Suite à la révocation de l’Edit de Nantes en 1685, l’intendant du roi Louis XIV, Nicolas de Lamoignon de Basville, fait réaliser 22 chemins royaux. A lire le cartouche illustré du plan de ceux-ci, on comprend que ces chemins étaient ouvertement destinés à amener un peu d’ordre dans les Sevenes, où les fanatiques et autres mécontens ne descendaient des montagnes que pour faire leurs courses.