St-Hippolyte du Fort possède un passé riche en histoire et son patrimoine est remarquable, surtout les nombreuses fontaines qui ont marqué la ville.
La danseuse au Pradet. Le jardin d’enfants du Pradet ressemble aujourd’hui à l’antithèse de toute aire de jeux. On se croirait ici dans le Bronx des années 1970. En son sein, trône un petit rat d’opéra qui renvoie aux danseuses chères à Edgar Degas. De fil en aiguilles, on est projeté au Palais Garnier, où […]
Les meuses à Cazilhac. En regardant tourner les grandes roues à aubes à Cazilhac, nous reviennent les vers enchanteurs de Charles Péguy : « O Meuse endormeuse et douce à mon enfance… O Meuse inaltérable et douce à toute enfance ». Quoi de plus juste, en effet, pour décrire cet environnement serein et ces majestueuses roues aux mousses
Pollution des sols et de l’eau. Au fil des caminades, on apprend que St-Hippolyte a jadis été une « ville florissante ». À ce titre, on évoque essentiellement, et non sans fierté, l’âge d’or de la sériciculture et comment une Rachel Cabane a su avoir gain de cause au parlement, en faveur de meilleures conditions de travail.
Inondations, dégats des eaux … ne jetez pas vos livres ! Les inondations à répétition que nous constatons ces dernières décennies ont des conséquences catastrophiques. Et la perte de vies humaines est la plus terrible. Mais ils sont des domaines où on peut agir, comme par exemple les livres, ceux qui ont subi un dégât
Sur la trace du premier temple cigalois. Après des années de tensions religieuses et d’assemblées clandestines, Catherine de Médicis tente de réconcilier le peuple français. Du fait de son pouvoir de régente, elle en a la possibilité. En 1562, son fils, le roi Charles IX, n’a que 12 ans. C’est donc elle qui tente pour
A la recherche du temple perdu à St-Hippolyte du Fort. Étant donné le succès rencontré par notre premier article sur la recherche du temple perdu, nous en publions ici les lignes supprimées. Comme le mentionnent certains des lecteurs de la Gazette, le bel encadrement de porte de la maison sise au 14 Place de la
La place de Croix-Haute à St-Hippolyte du Fort. Au-delà de son patrimoine exceptionnel, St-Hippolyte a pour particularité de nous rappeler l’importance des mots. On y découvre encore, ici et là, des appellations telles que Fond-de-Ville, Cap-de-Ville, Bout-de-Ville. Á cette merveilleuse brochette de noms, Alain Bloch et Camille Sauvant ont malicieusement rajouté leur Galerie du Bout-du-Monde, indiquant
Myria : la borne au début de la rue Croix-Haute à St-Hippolyte du Fort. Juste en amont du 1 Rue de Croix-Haute, au pied du mur, un petit dé porte le joli nom de Myria. Pour une aussi petite pierre, elle pose beaucoup de questions, les unes plus poétiques que les autres. Étymologiquement parlant, « Myria »
Les moulins de St-Hippolyte du Fort. Á Saint-Hippolyte, on est frappé par la présence de très nombreuses traces de pansières (1), béals (2), fuyants (3) et gourgues (4). Ceux-ci traduisent non seulement un nombre impressionnant de moulins mais aussi un savoir-faire exceptionnel en matière d’hydrologie. De l’épisode VI des Mystères de l’Agal, on comprend l’importance
Le dolmen de Rascassau. Comme en atteste un dolmen de Rascassau (1), les origines de St-Hippolyte du Fort remontent à la nuit des temps. L’agglomération actuelle existe probablement depuis le 13 voire 14ème siècle. Auparavant, la population était installée au Puèch de Mar, à l’abri du vent et des pillards. Cet éperon rocheux constitue aussi
