La tine au Moulin de Croye. La tine au Moulin de Croye …et non pas « la Tine du Moulin de Croye ». Car ladite tine – récipient en latin – existe depuis bien avant le Moulin de Croye. Des tines, il en existait d’ailleurs plusieurs : celle-ci, celle du Moulin Lasalle (alias des Portes, la ruine […]
SOS Fantômes. L’épisode précédent dans la Gazette de Croix-Haute mettait en avant la centaine de prises individuelles, entre la prise maîtresse du canal et le Moulin de Croye. Étant donnés les défauts d’étanchéité de ces ouvrages relativement anciens, il y a de sérieux risques de fuites. Par conséquent, celles-ci peuvent engendrer des transmissions en cas
Les passages en siphon. Comme nous l’avons vu, plusieurs réseaux d’adduction d’eau passent en siphon*, tant sous l’Argentesse que sous le Vidourle. C’est le cas pour plusieurs fontaines : celle au faubourg du Vidourle ainsi que la brochette qui va de l’Hôpital à Mandiargues, en passant par Croix-Haute. C’est également le cas, a priori, du
La Source… Certains s’en délectent dans des livres pendant que d’autres s’en abreuvent au cinéma : La Source ! En pays cigalois, c’est une réalité. Le lieu-dit La Source se trouve effectivement juste à la sortie du village, en direction de Cros. Pour l’avoir analysée en 1926, Jean Conduzorgues (pharmacien et heureux propriétaire du l’hôtel
L’hôpital St-Louis et ses fontaines. À regarder l’étude de faisabilité de 1744, portant sur l’hôpital royal St-Louis, on comprend que la fontaine extérieure a été déplacée, non pas une fois mais deux. Effectivement, le plan du rez-de-chaussée ci-dessous, montre que la fontaine extérieure se trouvait initialement juste à droite de son emplacement actuel [1] ; et
Fontaine de la Canourgue. Cherchez l’erreur… Sur la photographie ci-dessus, la stèle de la fontaine de la Canourgue n’est clairement pas semblable à celle d’aujourd’hui. Elle parait même être à claire-voie. Mais à regarder les cartes postales de la même époque, on comprend qu’il n’en est rien. À aujourd’hui voir les joints, tartinés comme par
Le Pont du Peirou, c’est pas le Pérou. Devant l’empressement d’en finir avec les fortifications, on n’a pas vu le trait de génie que certaines installations représentaient en termes d’écoulement des eaux pluviales. Le cadastre Napoléon (1812) fait apparaitre un pont au niveau de la porte du Peirou. Ce qui sous-entend que les remparts étaient
Fontaines disparues. Parmi les fontaines aujourd’hui disparues, il faut distinguer les fontaines publiques des fontaines privées. Au niveau des fontaines publiques, on peut également faire la distinction entre celles coulant en continu et celles le faisant par intermittence. En d’autres mots, les bornes fontaines. Dans son ouvrage, André Peyriat propose un plan, un peu grossier,
Porte de l’Abreuvoir (nouvelle série). Le plan de 1693 représente indiscutablement une aubaine, rare. Cependant, le hasard a voulu que je visite enfin la propriété qui, à mon avis, constituait la connexion originelle avec le faubourg de Planque. À l’intérieur de la « cour », au niveau des joints des murs, on distingue assez nettement
Gués, chaussées, passerelles et ponts. Se sont succédées, à St-Hippolyte, différentes manières de traverser les cours d’eau. L’histoire commence certainement avec le passage à gué. À ce titre, nous avons vu le rôle que jouait le Moulin Mirial, au niveau de la traversée vers Anduze, ville de laquelle dépendait fortement St-Hippolyte, dans le cadre des
