de Saint-Hippolyte du Fort ... et du monde

Jeroen van der Goot

Sur les traces du temple perdu à St-Hippolyte du Fort

Sur les traces du temple perdu

Sur la trace du premier temple cigalois. Après des années de tensions religieuses et d’assemblées clandestines, Catherine de Médicis tente de réconcilier le peuple français. Du fait de son pouvoir de régente, elle en a la possibilité. En 1562, son fils, le roi Charles IX, n’a que 12 ans. C’est donc elle qui tente pour […]

Sur les traces du temple perdu à St-Hippolyte du Fort

Sur les traces du temple perdu – II

A la recherche du temple perdu à St-Hippolyte du Fort. Étant donné le succès rencontré par notre premier article sur la recherche du temple perdu, nous en publions ici les lignes supprimées. Comme le mentionnent certains des lecteurs de la Gazette, le bel encadrement de porte de la maison sise au 14 Place de la

Croix-Haute en 1693 à St-Hippolyte du Fort

Place du 4 Septembre

La place de Croix-Haute à St-Hippolyte du Fort. Au-delà de son patrimoine exceptionnel, St-Hippolyte a pour particularité de nous rappeler l’importance des mots. On y découvre encore, ici et là, des appellations telles que Fond-de-Ville, Cap-de-Ville, Bout-de-Ville. Á cette merveilleuse brochette de noms, Alain Bloch et Camille Sauvant ont malicieusement rajouté leur Galerie du Bout-du-Monde, indiquant

La borne myriamétrique de Croix-Haute à St-Hippolyte

La borne de Myria à Croix-Haute

Myria : la borne au début de la rue Croix-Haute à St-Hippolyte du Fort. Juste en amont du 1 Rue de Croix-Haute, au pied du mur, un petit dé porte le joli nom de Myria. Pour une aussi petite pierre, elle pose beaucoup de questions, les unes plus poétiques que les autres. Étymologiquement parlant, « Myria »

St-Hippolyte structure urbaine originelle (hypothèse)

Mystères de l’Agal (06) / les moulins

L’Agal, les moulins et la ville : on reste un peu sur sa faim en constatant que les premiers plans de notre ville ne remontent qu’à la fin du 17ème siècle. La cartographie française n’ayant commencé à se généraliser qu’au 18ème siècle, il faut toutefois réaliser que St-Hippolyte est une des toute premières bourgades françaises à avoir été dessinée en plan. Pour imaginer les prémices de notre ville, on ne peut donc qu’émettre des hypothèses…

Les moulins cigalois

Les moulins cigalois

Les moulins de St-Hippolyte du Fort. Á Saint-Hippolyte, on est frappé par la présence de très nombreuses traces de panssières (1), béals (2), fuyants (3) et gourgues (4). Ceux-ci traduisent non seulement un nombre impressionnant de moulins mais aussi un savoir-faire exceptionnel en matière d’hydrologie. De l’épisode VI des Mystères de l’Agal, on comprend l’importance

Plastique - Le grand mensonge du recyclage

Plastique – Le grand mensonge du recyclage

Le secteur de l’emballage joue avec les mots et les non-dits Tout le monde est aujourd’hui conscient du problème que représentent les déchets plastiques. L’intention ici n’est donc pas de décrire les côtes indonésiennes, les bronches des mammifères marins ou encore les continents de plastiques en mer. L’objectif est d’exposer notre part de responsabilité dans

Fragment de tugulae

Aux origines de St-Hippolyte 

Le dolmen de Rascassau. Comme en atteste un dolmen de Rascassau (1), les origines de St-Hippolyte du Fort remontent à la nuit des temps. L’agglomération actuelle existe probablement depuis le 13 voire 14ème siècle. Auparavant, la population était installée au Puèch de Mar, à l’abri du vent et des pillards. Cet éperon rocheux constitue aussi

Platane creux

Abattage des arbres de St-Hippolyte 

Abattage des arbres de St-Hippolyte du Fort : jusqu’où ira-t-on ? Avant les travaux de requalification de la Place de la Canourgue – en 2016, l’été cette dernière se devinait par sa verdure et était marquée par l’ombre bienfaisante de celle-ci. Depuis, au moins cinq platanes adultes y ont été abattus et leur emplacement recouvert

error: Content is protected !!
Retour en haut