de Saint-Hippolyte du Fort ... et du monde

Histoires d’O

Histoire d’O : hormis le clin d’oeil au livre qui a défrayé la chronique, il s’agit ici de l’eau, celle dont on ne peut se passer …

Les messages de l'eau - Masaru Emoto

Vidourle polymorphe – II

L’eau, cette inconnue. En sous-sol, Vidourle danse, se disperse, se purifie, se minéralise puis se concentre à nouveau. Comme pour tout le reste, on estime que ce ballet est éternel. Alors que, parallèlement, au niveau de l’encrassement du purificateur, nous identifions bien l’impact du ruissellement des engrais et autres caca(1). Étymologiquement parlant, le mot Rivière

Vidourle à St-Hippolyte du Fort

Vidourle polymorphe

Vidourle, de la montagne de La Fage au Grau du Roi. Alors qu’il a fière allure à Sommières voire encore à Quissac, ici et là à St-Hippolyte, on est surpris de trouver le lit de Vidourle à sec. On comprend dès lors que le coquin se cache pour resurgir Dieu sait où. En s’extirpant au

St-Hippolyte 1693 - Porte de l'abreuvoir

Fontaines cigaloises (04) / quelle fut la première ?

La première fontaine cigaloise. Toujours en quête de sensation, chacun tente d’identifier la première de nos fontaines. Pour les uns ce serait la fontaine du Bout-de-Ville, pour d’autres celle des griffons. Mais pourquoi ? Notre raisonnement va au-delà des suppositions actuelles. Á notre avis, la première fontaine se situait vers le Bout-de-Ville. Il ne s’agissait pas

St-Hippolyte structure urbaine originelle (hypothèse)

Mystères de l’Agal (06) / les moulins

L’Agal, les moulins et la ville : on reste un peu sur sa faim en constatant que les premiers plans de notre ville ne remontent qu’à la fin du 17ème siècle. La cartographie française n’ayant commencé à se généraliser qu’au 18ème siècle, il faut toutefois réaliser que St-Hippolyte est une des toute premières bourgades françaises à avoir été dessinée en plan. Pour imaginer les prémices de notre ville, on ne peut donc qu’émettre des hypothèses…

Les moulins cigalois

Les moulins cigalois

Les moulins de St-Hippolyte du Fort. Á Saint-Hippolyte, on est frappé par la présence de très nombreuses traces de panssières (1), béals (2), fuyants (3) et gourgues (4). Ceux-ci traduisent non seulement un nombre impressionnant de moulins mais aussi un savoir-faire exceptionnel en matière d’hydrologie. De l’épisode VI des Mystères de l’Agal, on comprend l’importance

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