Mystères de l’Agal (03) / détails architecte
Si l’Agal ne coule plus, c’est peut-être du fait des objectifs de limitation qu’on nous fixe. On aurait ainsi eu la main un peu lourde sur la vanne de régulation de la prise d’eau.
Histoire d’O : hormis le clin d’oeil au livre qui a défrayé la chronique, il s’agit ici de l’eau, celle dont on ne peut se passer …
Si l’Agal ne coule plus, c’est peut-être du fait des objectifs de limitation qu’on nous fixe. On aurait ainsi eu la main un peu lourde sur la vanne de régulation de la prise d’eau.
Avant d’être réalisée, la couverture complète de l’Agal attendra encore près d’un siècle après ladite enquête (referendum) de 1860. Selon certaines sources, il semblerait toutefois qu’il y ait eu quelques travaux de couverture entrepris dès 1861.
La création de l’Agal remonte certainement à l’implantation du village. C’est-à-dire, probablement, aux alentours du 14ème siècle.
On peut penser que l’Agal ait tout d’abord été une tranchée destinée à irriguer les cultures en contrebas du village.
Extrait d’une étude de l’Agence de l’eau Rhône Méditerranée & Corse d’octobre 2012 : le Haut-Vidourle La partie amont du bassin, aux reliefs escarpés, s’étend de la source du Vidourle située au pied du Liron (massif granitique des Cévennes) jusqu’à St Hippolyte du Fort. Dans ce secteur montagneux, aux altitudes supérieures à 500 m et aux
A voir la planche ci-dessus, extraite de l’Atlas des climats de France (1970), on comprend que St-Hippolyte se trouve en marge de la zone la plus arrosée de France. Cela ne suffit toutefois pas pour expliquer les vidourlades.
Pour comprendre celles-ci, il faut se pencher sur le manque de stratégies développées au cours de ces derniers siècles, les perturbations que représentent les paissières et autres seuils le long du Vidourle et le manque d’entretien de son lit …